21 janvier 2007
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Mélodies et tristesse
Il y a un outil très efficace entre les mains de satan : la musique.
Allah a dit :
« Et, parmi les hommes, il est [quelqu’un] qui, dénué de science, achète de plaisent discours pour égarer hors du chemin d‘Allah » (sourate 31, verset 6)
Ibn Mass’oud ( ) jurait que « les plaisant discours » signifiaient les chansons. Et dans un hadith,
le Prophète (saw) a dit : « Il y aura des gens de ma communauté qui autoriseront l’adultère, la soie, le vin et les instruments de musique. » (Rapporté par Al-Boukhârî)
Dans un autre hadith,
le Prophète (saw) dit : « Des gens de ma communauté seront châtiés par des effondrements, par des jets (de pierres) ou par des métamorphoses quand ils se permettront de boire de l’alcool, d’écouter les chanteuses et de jouer des instrument de musique » (rapporté par Attirmidhi)
Les savants ont interdit la musique. L’interdiction est encore plus grande lorsque la musique est accompagnée de chants. Le péché s’aggrave encore quand ces chansons ne comportent que des mots d’amour et des descriptions de charmes féminins.
La musique est une flûte que satan utilise pour t’attirer.
Allah a dit à son sujet :
« Excite, par ta voix, ceux d’entre eux que tu pourras, rassemble contre eux ta cavalerie et ton infanterie. » (Sourate 17, verset 64)
Ibn Mass’oud ( ) disait : « Le chant est un outil de fornication. » Or l’époque d’ Ibn Mass’oud, il n’y avait que de modestes instruments et les chants proprement dits n’étaient faits que de poésies plutôt sages. Que dirait-il s’il écoutait les chants et la musique de notre époque et s’il voyait nos chanteuses et nos danseuses ? Il penserait sans doute que ce n’est plus un outil de fornication mais de la fornication en soi. En plus, aujourd’hui, la musique est disponible partout, s’écoute à n’importe quel moment et de n’importe quelle façon. Satan n’a donc plus seulement une flûte mais tout un orchestre qui travaille pour lui de jour comme de nuit !
Extrait de : Femme éternelle. Modèle à suivre pour les femmes musulmanes.
Du Docteur Muhammad Al’Arîfî.